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How do I format texts that were processed by OCR?

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Let's say that I want to connect all the paragraphs that are broken by the citations that start with (1), (2), (3), (4), (5). How would I express/automate this in bash? Keep in mind there are at most 5 citations in a single page which means I have to keep in mind all the combinations of 1, 1-2, 1-2-3, 1-2-3-4, 1-2-3-4-5. Example: > parler en usage dans tous les temps et dans tous les pays, formaient > avec les nouveaux principes le contraste le plus frappant. Suivant le > système dont nous parlons, le pouvoir souverain, ou du moins la source > du pouvoir, est dans le peuple, c'est-à-dire, dans le corps des > sujets; car ce sont eux qui doivent avoir fondé l'État par leur > réunion. La masse du peuple est le véritable souverain , le maître > réel, le summus imperans ; c'est en elle seule que la majesté réside > tout entière (1). Les princes que l?on regardait jadis comme des > seigneurs indépendans, se trouvent changés en simples serviteurs ou > employés de leurs peuples (2); car celui qui recoit un pouvoir est > nécessairement subordonné à celui qui le confère (3). L'autorité > > (1) Du Contrat social, L. I. ch. 1, et mille autres ou vrages pareils. > On est forcé de soutenir cette proposition , du moment où l?on > considère le peuple (l'agrégation des hommes tenus à s'acquitter de > certains devoirs, à rendre de certains services ), comme une > bourgeoïsie ou une corporation libre , dont tout pouvoir dérive. > > (2) I y a donc aussi , suivant ce système, des maîtres et des > serviteurs dans le monde; seulement les nouveaux philosophes veulent > mettre les uns à la place des autres. > > (3) Constituens est superior constituto. Grotius et Pufendorf > s'élèvent déjà fortement contre l'application de cette règle , de > crainte de passer pour révolutionnaires. Mais il n'y a pas moyen de la > réfuter, dès qu'on part du principe de la délégation du pouvoir. Ils > allèguent , il est vrai, pour exemple, le tuteur : il est, disent-ils > , nommé dans l'intérét du pupille , qui cependant est au dessous de > lui. Mais la comparaison est fausse ; le tuteur n'a point été nommé > par le pupille, mais par les parens , ou par quelqu'autre autorité qui > certainement est au dessus de lui. > > > leur étant confiée par le peuple, ils n?en doivent faire usage que > pour les intérêts du peuple et jamais pour les leurs propres. L'empire > même le plus juste exercé par les princes , et sans aucun abus du > pouvoir, n'est plus un droit, mais une fonction ou un devoir (1), non > point, comme on le croyait jadis, envers le législateur divin, qui > est. aussi leur maître, mais envers le peuple, auquel seul ils sont > responsables de leur administration. La loi, c?est-à-dire, ce qui, > joint aux devoirs naturels, doit servir à tous ou à plusieurs de règle > obligatoire dans le lien social, n?est pas la volonté du seigneur ou > du chef, mais la volonté générale, la volonté de tous les sujets. > D'après les mêmes principes, les princes ne possèdent plus rien en > propre (2). Tous leurs > > > (1) Cest pour cela que les écrivains modernes parlent sans cesse des > devoirs des princes et des droits des peuples, jamais ils ne disent > autrement. Ce langage a été transporté même dans les rapports de > famille; il n'y est à présent question que des devoirs des parens et > des droits des enfans , comme si les parens n'avaient aucun droit > propre, et qu'ils eussent été établis par les enfans. > > (2) On peut dire d?un souverain, « qu?il ne possède rien » (en propre > ). Il ne peut avoir des domaines. » Kant. Elém. métaph. de jurisp. p. > 183. Il ajoute immédiatement > > > biens , tous leurs revenus viennent également du peuple, et demeurent > essentiellement la propriété de la nation. Ce sont des contributions > directes ou indirectes des membres de l'État, uniquement destinées à > des intérêts nationaux, à des besoins communs, et non point aux > dépenses particulières des princes. Ce dont ils ont besoin, eux et > leurs familles, pour jouir d'une existence décente et honorable, ne > doit être regardé que comme un traitement que le peuple leur accorde, > en vertu de leur charge. Tous les fonctionnaires et les serviteurs que > les princes emploient à l'instar des autres hommes, soit pour la > sûreté ou le soulagement de leur personne, soit pour l'administration > de leurs biens et de leurs revenus, soit pour la direction de diverses > autres affaires, deviennent des fonctionnaires publics, des serviteurs > de l'État , ou du peuple, et c'est à ce nouveau maître fictif qu'ils > sont responsables de leur conduite. En un mot, tous les États ne sont > plus que des républiques sous une autre forme, et la chose privée d?un > prince devient une chose publique (1).
Asked by Jean (1 rep)
Oct 1, 2022, 12:48 PM
Last activity: Oct 1, 2022, 04:59 PM